To Kill A Mockingbird-Le Pulitzer De Lee Harper Revisité(1)

Publié le par spiritual whisper

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 Mayomb county est la ville où se déroulent les faits de ce roman. C’est un lieu fictif mais il est très comparable à Monrœville là ou a grandi Lee Harper. Mayomb une ville qu’on qualifierait aisément de petite et endormie. C’était le genre de ville où circulent des attelages de mules. Au fait Mayomb n’avait rien a craindre sauf peut être elle-même.  Il ne s’y passait jamais rien et la monotonie s’y est installée. La vie de chaque habitant était devenue identique à un rôle joué dans un mélodrame que tout le monde pouvait visionner et critiquer à sa guise.

Scout Finch, la narratrice  découvre le monde par les yeux de l’enfant qu’elle est. Un monde loin d’être parfait certes, mais ce qui se dévoilera a ses yeux au file du temps lui paraîtra encore étrange.

Le voisin le plus proche des Finch était Boo Radley. Une sorte d’ermite qui depuis des décennies vit cloîtré dans la maison de ses parents. Il avait adopté ce mode d’existence suite à une emmêlé avec la justice qu’il avait eu à sa jeunesse. Les voisins ne lui pardonnaient pas de laisser les volets de sa maison toujours clos ! C’était une preuve de plus qu’il était quelqu’un d’ambigu. Du coup on lui imputait la responsabilité sur  chaque fleur qui fanait et chaque animal domestique qui périssait. Poussés par la curiosité et la quête d’émotion forte, Scout, son frère Jem et leur copain Dill Harris découvrirons qu’au lieu du monstre auquel ils s’attendaient il y’avait un personnage affectueux qui manifestait beaucoup de gentillesse !

 La ville entière retenait son haleine dans l’attente du procès de Robinson ; ce jeune nègre qui était tombé sous le charme de la jeune Mayella Ewell. Ils avaient tout les deux goûtés aux délices charnels et y avaient pris goût. Ils finirent par perdre toute vigilance.  Par ailleurs il n’était pas acceptable dans un milieu pareil qu’une fille blanche entretienne ce genre d’échanges avec un noir !  Le malheur survint quand le père surprit sa fille dans les bras de Robinson. Celle-ci n’eut que la traîtrise de crier au viol !

Publié dans Méditation

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